SWAPNIL REMIEL

[center]GENERAL }

Nom : Swapnil Remiel
Âge : 4 printemps
Sexe : Etalon
Race : Paint Horse

INFORMATIONS }

Histoire :
Caractère : Gestes en douceur, mouvements théâtrales, beauté inouïe. J'aime me voir bouger au son de la musique, j'aime m'entendre chanter d'une voix magnifique, j'aime tout ce qui touche à ma personnalité. Je ne suis pas un songe, je suis réelle, je me fiche des préjugés, je me fiche des opinions de chacun, je suis tout simplement moi. Mes prunelles noires explorant, croquant les personnes que je rencontre, mes sabots s'enfonçant lourdement dans le sol, une partie de moi, je m'éclate seule, je chante à quelqu'un. J'expose mes avis, je parle de moi, je me complimente, je chante à tue-tête pour voir votre plus profond agacement. J'assume tout et rien, grâce des mouvements, odeur doucereuse, paroles suaves. Sourire enjôleur, silhouette subtile, danse sensationnelle. Regard survolté, déplacements délicats. Jument svelte. C'est moi, tout cela, je dis toujours vrai, ne me contredis pas, au fond de toi, tu entends une voix comme quoi tu dis faux. Je dis toujours vrai, d'une voix mielleuse, je ne t'écoute pas, je vis chez moi, je rêve en regardant le ciel. Je t'aime quand je plonge mon regard électrique dans le tien, je me sens voler quand tu te prends à mon jeu. Entre chez moi, jouons, aime-moi. Regarde, j'ai toute la vie devant moi, jeune et insouciante, ne résiste pas, tu en a autant envie que moi. Souviens-toi de tes premiers amours, souviens-toi de ton affection pour une jument. Je te regarde, tu me souris, je fais pareil. Je t'imite, je ris, je pleure, et tout ça sans la moindre gêne, je suis infidèle, je suis fausse, trop fausse. On me l'a déjà dit, et pourtant, je veux un bout de toi, je te console, je te regarde tendrement. Quand mes hanches se balancent et que je m'élance vers toi, tu ne résistes pas. On t'avais dit de ne pas rentrer trop, et en voilà les conséquences, sex, latex and rock'n'roll. Souviens-toi de ces mots autrefois inconnus dans ton existence, souviens-toi de ton passé, souviens-toi de ta joie de vivre. Je ne suis pas qu'une jument, je suis bien plus, je t'aime pas, je t'aime, tu es ballotté. Je fais la guerre avec les autres juments, tu n'es qu'à moi, rien qu'à moi, ne t'en va pas ou tu en subiras le résultat. Peut-être incongrue, propos déplacés, je suis tout à fait normal, tu ne comprends pas. Tu aurais pu me protéger, tu ne l'as pas fait, ne ment pas, ne ment plus. Je crois que tu n'as pas compris, lis cette lettre d'amour, elle vient de tes admiratrices qui s'enflamment dès qu'elles te voient. Moi j'aime entendre mon cœur battre dans mon poitrail, j'aime sentir mes crins se coller à mon encolure longiligne, j'aime me sentir flambée. Ce que je dis est insensé, ne comprends-tu toujours pas ? Tout est si simple, je ne comprend pas moi non plus. Que dirais-tu de m'embrasser ? Je veux danser le twist avec toi, danser sans fin, que tu me dise que l'amour n'a pas de limite. Car c'est vrai, je veux écouter ta voix en boucle, voir tes yeux se poser sur moi chaque fois que je me pavane devant toi. Oh Bébé s'il te plait, baise-moi cette nuit. Tu m'as trop raconté tes fameux coups de nuit. Tu sais, ces filles qui te gardaient dans leur cœur pour la vie. Raconte-moi tes histoires, tu en a pleins à me dire, je suis impatiente de les entendre. Naïve je te crois, intelligente je ne te crois pas. Hautaine, supérieure. Je ne suis que toi en pire, lorsque mon sourire, mon regard se pose sur toi pour ne plus te lâcher. Mon cœur bat pour toi, parle-moi de toutes tes aventures d'une nuit. Dis-moi si je dois partir ou pas, toi qui en est si sur. Tu es fou de moi, je le sais, ne ment pas, tu te trahis toi-même avec ton petit sourire, les rougeurs apparaissent déjà. Mon enfance, tu l'as connait déjà, je suis orpheline, je n'ai pas connu mes parents. Tu comprends, maintenant, j'ai besoin d'affection, oh s'il te plait aime-moi, nous jouerons ensemble. Crie-moi des je t'aime à l'infinie, je te croirais jamais, tu le sais bien ! Similaire à toi, tu me fais boire, on finit vite sur le trottoir, nous sommes perdus cette nuit. Bang bang revolver, je tue tout le monde par ma beauté suprême, je suis supérieure à toi, tu le sais, tu le sais. Cette page devait être retournée, avec toi, avec toi. Je repense à toutes ces années, sur la croix, sur la croix. Et parfois, je t'entends dire des choses bien étranges, explique-toi, explique-moi. Me violer par terre, et puis recommencer. Je n'y vois pas d'inconvénients, mais fais attention, sensibilité et fragilité obligent. Tu le savais ? Tant mieux pour toi, tu feras attention la prochaine fois j'espère. Et puis, ne me regarde pas comme ça, tu ne sais rien de moi, tu te contentes de m'embêter et de profiter de moi, tu ne sais pas qui se cache sous ce visage d'ange. Dur la vie auprès de moi, je suis source de problèmes, sans cesse je te mets au défi de me protéger. Comme une héroïne qu'on chérit un peu trop. Oh oui, chérit moi, fait de moi ta princesse. Je suis bien plus belle, je suis bien pire que toi. Mais le soir je m'en vais. Tromperies, copies, céleste chant. Divine beauté, période énigmatique, pause flegmatique. Télépathie, enchantement, je ne suis pas un rêve, je suis devant toi, regarde moi. Fait gaffe, ces filles sont de vraies folles, elles mettent les mecs à genoux, fait gaffe à toi, fait gaffe à toi mon ange. Mon ange, mon amour. Mon amour, mon cœur. Merveilleuse poupée, étonnante marionnette. Manipule-moi, c'est toujours mieux que l'indifférence, je veux que tu t'intéresses à moi, toujours plus, toujours plus. Finding Beauty. On aimait s'étaler, on aimait cracher contre le vent, on aimait crier procès face à toutes ces injustices. C'est à toi, protège moi mon ange, protège moi mon beau... Je ne suis pas vantarde, oh non, je suis normale et banale, j'aime bien emmerder le monde. Ni rock, ni glam, jamais le même style, lunatique et instable. Ni vantardise, ni problèmatique. Ni grâcieuse, ni moche. Ni facile, ni difficile. Je suis tout et rien à la fois, étrange n'est-ce pas ? Je me demande où tu vas m'emmener, donne-moi un indice. Un endroit romantique, un endroit morbide. Un bel endroit, un endroit horrible. Synonymes ou antonymes, les deux veulent dire la même chose, tu ne comprends pas ? Je pose les mêmes questions, je ne réponds pas à celles qu'on me pose, je suis comme tout le monde, je suis unique ! Ne me laisse pas, je me blesse facilement, je blesse facilement, je fais tout facilement, je ne suis pas gênée. J'aime, j'aime. Chanel. Ca ne rigole plus, mon enfant. Ne pas se prendre au sérieux, tu verras, c'est beaucoup mieux. Amuse-toi avec quiconque, courre, fatigue-toi... Crève de froid dans cette pière piégée, congelée. Ni romantique, ni belle. La queue volant derrière moi comme un voile de soie. Je suis belle, je le sais, il faut arrêter de mentir, reprends-toi, tu n'es pas sérieux. Regarde-toi, tu ris à peine, tu te moques de moi. Un style dur à supporter. Je suis compliquée, tu l'es aussi, voilà une qualité similaire ! Hey, Patricia, hey Katie, comment vous allez mes amies ? Je fais même des rimes, ne suis-je pas une poète. Une poète amoureuse, une poète magnifique. Ou alors une princesse impalpable, fortunée, couronnée. Respectée de tous, une reine héritière. Une riche héritière. Caractère de cochon, ça c'est la classe ! Tu ne me connais pas assez pour juger, dégage, tu gâches ma vue. Mes pupilles se posent sur toi, détourne le regard et vite, avant d'en recevoir le retour. Ne fait pas l'insolent, je suis une reine, ta supérieure, ton bourreau, ne bronche pas ! Je t'exploite, j'en suis fière, manipulatrice sans scrupules. Manicure, parfum, jeu de la drague, me connais-tu ? Facettes cachées, facettes découvertes. Tu connais tout, tu connais rien. Dans ce monde, je m'ennuie. Je t'ai dans la peau, une bonne fois pour toute, tu seras mien. Rien que dans ma jeunesse, j'en ai connu du monde, pour cause. Je ne vais rien dire. Tu sais, toutes mes copines me trouve très très belle, c'est que c'est vrai ! Pile électrique, instable, sans reproches, je suis parfaite, je ne suis qu'une innocente, qu'un ange ayant besoin de'un peu d'affection. On me connait par coeur, je suis facile à retenir. Nos jeux de jeunes sont terminés, rappelle-toi de moi et puis oublie moi. On s'oublie tous à un mot. Et ça, c'est triste ! Sauvage, impulsivité. Nervosité, zen. Placidité, je suis calme et posée, discrète et timide, indépendante et dépendante, soumise et insolente. Je suis tout, tout. On se demande, je suis que lunatique. Charmeuse et dragueuse, timide et discrète, impulsive et menteuse. Les filles n'ont jamais le choix. C'est triste, d'être sans choix, sans droit de vote. Joue à faire crier les mots démodés. Joue avec les mots, joue avec moi. Allons faire un tour vers un Jardin, allons faire un tour vers un lac fumant. Allons à deux endroits en même temps. Tout revient à ma mémoire lentement. Show Off... Si beau, si fort. Attirée, nous l'étions. Tu sais bien, toutes ces interruptions, il n'y a rien d'autant décevant, on a jamais pu se parler. J'ai cessé. Je ne t'ai jamais revu, dit-moi que tu ne m'as pas oublié... Oh, s'il te plait. Il n'y a rien d'aussi triste qu'une mémoire vide. Tu me reconnaitras. On reprendra où nous nous en étions. Je ne t'aime pas, je t'aime. Je suis partagée, toi aussi ? Ta princesse, ton amour. On s'est tourné autour, on a pas trouvé le bon moment. Encore plus décevant. Une relation amoureuse qui n'aboutit pas est, au final, devenue enfermée dans notre tiroir mémorique. Quand on l'ouvre, on est assaillit de souvenirs qui remontent, on retrouve la mélancolie connue. Ca sort par les oreilles, par la bouche. Cours donc, une ombre ne s'évite pas. Tu crois l'éviter, elle apparait devant toi. N'ai crainte. Je veux juste toucher. Comme tu as un beau visage, je le pense sans le dire. Je cache dans mon sac un joli couteau, pour griffer, blesser. Pour rougir, pour faire mal. Sentiment de douleur. Lucidi Chanel. Confidente, je le confie à toi comme je me confie à moi-même. Je t'aime beaucoup, c'est tout. Tout le monde m'aime, tout le monde me déteste, ça c'est vraiment la classe !

Defauts : Violent, battant, insensible, frénétique, impulsif, ténébreux, ombrageux, foudroyant.
Qualités : Patient, calme, placide, franc, loyal, stoïque, entêté, déterminé, courageux, brave.
Aime : le calme, le mauvais temps (pluie etc...), les prédateurs, tout ce qui touche au danger, sauver des équidés pour son honneur, dominer.
Aime pas : les bavards, les autres, le beau temps (soleil), les endroits tout beau tout con, les idiots, les naifs.

Liens avec d'autres chevaux :
Houna = Remiel a tout fait pour la nuire, et pour couronner, l'a sailli de force. Aujourd'hui, il est décidé à recommencer ce qu'il a fait auparavant.
Romantic = Son frère ? Ils ont été dans le même clan de HLL mais ce que Romantic ignore, c'est que Swapnil le déteste et veut tout faire pour l'anéantir. De l'autre côté, Remiel ne sait pas que son frère n'a jamais été un vrai HLL et qu'il a toujours fait semblant ?

AUTRES }

Comment as-tu connu le forum ? Par Musa
Qu'en penses-tu ? J'ai un avis très partagé.
As-tu lu le règlement en entier ? Oui.
Preuve(s) : OK.
Autre :

Ton Puf :

HISTOIRE

Tout a commencé un jour de mai, lorsqu'une mignonne petite bouille grise naquit dans un petit champs d'herbes hautes et dangereuses. Le ventre balançant de droite à gauche, la mère de Rose marchait difficilement, sachant que c'était pour aujourd'hui la naissance. Il n'y eut rien de plus banal : le père du poulain accompagnait la jument dans ses efforts en lui susurrant des mots doux et réconfortants. " Ça va aller. " lui dit-il doucement, à l'oreille, au moment où la jument tombait à terre, épuisée. La jument était une petite grisette fine et belle, portant un âge assez jeune, tout comme le père, noir comme l'ébène, plutôt fort et imposant. Leur relation avait commencé il y a longtemps, un petit jour ensoleillé. Alors que Leïla Bee, sa mère, broutait tranquillement, seule au soleil, un grand noir est venu lui parler, et ça a été comme le coup de foudre pour les deux. On va dire que leur liaison dure depuis quelques mois, et leur enfant va mettre comme fin à leur relation, autrefois tendre et passionnée. Leïla n'avait jamais su le nom du père de sa pouliche, il ne lui avait jamais dit et était resté plutôt méconnu vis-à-vis de la mère, ainsi que du troupeau où vivait Leïla. Cependant, tandis que toute la population du troupeau priait la jument de quitter cet étalon aux allures plutôt diaboliques et sulfureuses, Leïla ne le fit jamais, ne doutant pas une minute de la culpabilité de l'étalon noir. Bref, revenons à la naissance. La jeune grisette à terre, suant de toute part sur les herbes maintenant humidifiées et irritantes, celle-ci mourra avant d'avoir pu voir son poulain... Tombant dans un 'comas' après la naissance, épuisée de ses efforts, la petite grisette assistera à la mort de sa mère un peu plus tard. Mais avant ce jour, la petite pouliche commençait déjà à s'amuser seule ou en compagnie d'autres poulains de son âge. Cette nuit-là, deux semaines après sa naissance, passées à jouer avec les autres, sa mère la réveilla en pleine nuit, suivant sans insolence le père de la pouliche, qui eut le courage de les suivre en silence. Seulement, ce n'était pas sa mère : c'était une autre, qui lui ressemblait énormément. Avant d'enlever cette jument, le noir avait sailli de force la mère de Rose une deuxième fois, avant de tuer l'autre. Ils arrivèrent en haut d'une montagne rocheuse, où celle-ci avait une descente abrupte, parsemée de rochers coupants dont le passage sur ceux-ci serait fatal. La jeune pouliche, elle, n'ayant pas vraiment suivie le noir, arriva au moment qu'elle n'aurait jamais du voir. Le grand noir jeta, du haut de la montagne, la jeunette qui ressemblait tant à la mère de Deli', qui la prit d'ailleurs pour sa mère. L'étalon s'enfuit aussitôt après ce fait. Rose eut juste le temps de s'avancer vers ladite mère, et observa avec attention ses plaies, ses griffures, qui firent peur à la jeune pouliche qui s'éclipsa vers un territoire inconnu. Le lendemain, la vraie mère ne trouva donc pas sa pouliche, et pensa tout de suite à son père. Il se trouvait très probable pour la mère que celui-ci ait tué sa fille. Partie en quête du noir, elle le trouva, et lui expliqua rapidement la solution. " POURQUOI as-tu tué ma fille ? Je croyais qu'on était un couple, qu'on s'aimait, j'avais confiance en toi ! " Criait-elle à tout bout de champs, tandis que l'étalon répondait d'un ton calme et serein " Je n'ai pas tué notre fille. Quoique, dois-je encore dire notre ? Tu es pitoyable Leïla. " Tout de suite après ces mots, le grand noir mordit violemment la jument à l'encolure, la tuant à coup de dents. La grisette eut juste le temps de murmurer " Tu n'es qu'un salop... " Avant de mourir.
Le temps passait lamentablement. La jeune pouliche avait trouvé chaussure à son pied, si nous pouvons dire. Un étalon noir, comme son père, mais bien moins dérangeant et entrepreneur. Une rencontre se fit alors. Delicadeza eut le temps d'apprendre à connaitre un étalon gris et impulsif, qui un soir se retrouva seul avec elle. Ils avaient sympathisé, mais du côté de la jument, elle ressentait des sentiments plus fort pour ce gris, qu'elle laissa tomber pour lui. Le soir donc, fourré à l'écart des terres sauvages et connues, ils échangèrent un long baiser sous le reflet des cristaux. La belle s'endormit rapidement, lovée contre le gris. Mais au petit matin, la grisette s'en alla d'un pas actif, de peur que le noir comprenne que Deli' l'avait quitté pour Style West, et avait donc une légère inquiétude que le noir retrouve Style et lui fasse du mal... Deli ne voulait pas ça. Elle erra longtemps sur des sentiers perdus, avant de savoir qu'elle se diriger, sans le vouloir, vers PYH...